Les couloirs

Soit, la Descente aux Enfers... Ah non, c'est pas ça...

Donc, tu arrives encore par l'escalier sud-ouest. Même disposition apparente que l'étage précédent, avec le même couloir circulaire. Un peu plus long.

Trois portes : une en face de toi, une à gauche et une à droite.

Celle de gauche est verrouillée et piégée. Celle de droite simplement verrouillée. Celle du face, rien.

*S'employe a déverrouiller la porte de droite après avoir parcouru le couloir pour s'assurer qu'il est seul*

La serrure cède après un long moment. La pièce derrière la porte comporte une grande table rectangulaire en son centre. Une dixaine de chaises sont disposées autour. Des tentures recouvrent les murs. Elles semblent toutes d'origines différentes.

Rien. Rien d'autre d'intéressant ne traîne.

*Ressprt, dépité, et s'en va ouvrir la porte face à lui, dédaigiant momentannément la porte piègée.*

La porte de la salle centrale cède sans soucis, vu qu'elle n'était pas verrouillée. A vrai dire, la porte était juste poussée, même pas fermée.

Quelques serviteurs s'activent à l'intérieur, préparant le couvert pour le repas du soir. Un d'entre eux t'observe en silence et te garde à l'oeil tout en continuant ce qu'il fait.

La salle a aussi les murs recouverts de grandes tentures d'autres horizons.

*Ne trouve pas bon de s'éterniser dans cette pièce et descend à l'étage inférieur via l'escalier le plus proche*

A ton retour au deuxième étage, dans le couloir, tu vois les mêmes serviteurs que ceux qui s'affairaient dans la salle centrale. Ils semblent ne pas t'avoir vu et retournent là où tu les as croisés quelques minutes auparavant.

Tu t'approches lentement de la porte piégée, détecte un piège et essaies de déterminer la nature du piège. Très vite, tu comprends que c'en est un magique, mineur sans doute, mais tu ne parviens pas à savoir ce qu'il peut réserver. Cependant, il semble tout de même complexe...

Tentes-tu toujours de le désactiver ?

*Je prend encore quelques minutes pour analyser le mécanisme, m'app^reter à une éventualités déplaisante et tente ensuite de le désactiver le plus précautionneusement possible. Prêt à bondir sur le côté au moindre problèmes.*

Tu n'arrives pas à comprendre le mécanisme de ce piège.

Alors que tu tentes de le désactiver, tu sens une douleur vive envahir tout ton corps, comme une brûlure. Tu sens que si tu ne t'écartes pas vite, les choses vont empirer.

*S'écarte en vitesse et attends que la douleur disparaisse. Peu enclin à retenter l'expérience, se dirige vers l'autre salle piégée pour tenter de la débloquer puisqu'il n'a rien d'autre à faire.*

La douleur ne disparaît pas, et tu ne tardes pas à sentir la chaleur s'intensifier alors que des flammes semblent jaillir de la porte pendant quelques secondes.

Une de tes mèches de cheveu volant avec le mouvement d'air créé prend feu

(pour info, il n'y a pas d'autre salle piégée dans l'étage)

*Se jette au sol et tente d'éteindre comme il peut sa mèche, tapant avec sa main dessus pour l'éteindre contre le sol. En hurlant de peur*

(je parlais de la pièce piégée dans un autre étage, le 4 je crois)

Un serviteur, entendant des cris, accourut vers toi, se demandant ce que tu pouvais bien avoir fait pour hurler ainsi, au sol.

(tu as réussi à éteindre ta mèche de cheveux sans trop de soucis)

Il s'aproche calmement de toi et te dévisage d'un air curieux.

Puis-je vous aider, Monsieur ? demande-t-il poliment à l'elfe au comportement étrange.

Il sent une odeur de cramé, mais préfère ne pas savoir son origine. L'odeur a l'air de se dissiper assez vite, pas de quoi mettre la tour sans dessus dessous, mais il reste tout de même vigilent.

*Se relève prestemment et dévisage le serviteur en lui souriant, se recoiffe et se racle la gorge avant de répondre au serviteur.*

-"Non... Pas vraiment, Maître Zerkhen doit m'attendre maintenant"

*Tourne les talons et s'éloigne sans laisser le temps au laquais de lui poser une autre question. remonte les escaliers quatre-à-quatre jusqu'à arriver à la porte ou il a laissé Zerkhen et frappe timidement sur la porte, son "courage" s'émiettait au fil des heurts contre le bois de la porte"

J'espère qu'il n'est pas occupé...